Bonjour, la lumière pulsée a joué un rôle majeur dans la création et le développement de votre activité. Pourquoi et comment vous êtes-vous tournées vers cette technologie de soin ?
A la base, nous souhaitions avant tout travailler ensemble : nous sommes très complémentaires et nous savions que ça ne pourrait que fonctionner. Au départ, nous avons commencé par nous former chacune à des techniques de soin très spécifiques, comme le blanchiment dentaire, le browlift et la dermopigmentation. A la même époque nous avons découvert Corpoderm sur Facebook et rencontré Caroline* qui nous a présentée l’IPL Stella et les soins par lumière pulsée. Kaoutar avait déjà testé cette technologie sur elle-même : les résultats avaient été satisfaisants, et l’efficacité et la sécurité offertes par l’IPL Stella nous ont vraiment emballées… au point de décider Kaoutar à passer un CAP d’esthétique : ce diplôme est nécessaire pour avoir le droit de pratiquer la lumière pulsée, et d’une manière plus générale, il nous semblait indispensable pour ouvrir notre centre. Question de légitimité… Kaoutar a donc obtenu son diplôme et suivi la formation lumière pulsée fin août.
Vous étiez donc prêtes à l’automne pour le début de la saison de la dépilation par lumière pulsée ?
Oui, comme les cures de lumière pulsée s’étalent sur plusieurs mois et qu’il ne faut pas s’exposer au soleil après les soins, l’automne est la période idéale. Sur les conseils de Caroline, nous avons donc organisé des Portes Ouvertes en octobre, avec une offre de lancement très alléchante pour la lumière pulsée : -10% pour une zone, -20% pour 2 zones, et 50% sur la zone intermédiaire. Caroline nous a aidées et ça a très bien marché : on a signé beaucoup de devis ce jour-là !
J’imagine qu’un tel démarrage vous a fait plaisir…
Oui, mais c’est surtout très sécurisant d’avoir un carnet de rendez-vous bien rempli plusieurs semaines à l’avance… Avant l’arrivée de la lumière pulsée nous avions déjà des résultats satisfaisants pour une première année d’exercice, mais la donne a totalement changé pour la seconde année : on constate une très belle progression. En fait, c’est la lumière pulsée qui nous a permis de stabiliser notre activité aussi vite. A Blois, c’est une prestation qui ne se trouve pas partout, le bouche à oreille s’est rapidement mis en place et comme nous proposons des facilités de paiement, les copines des copines n’ont pas tardé à venir… Attention : nous respectons les prix conseillés, ce serait ridicule de travailler à perte, mais nous acceptons les règlements en plusieurs fois. Ça se gère au cas par cas. Il faut dire aussi que l’on communique beaucoup sur les réseaux sociaux, notamment sur Instagram et SnapChat.
Votre clientèle est donc assez jeune ?
Pas seulement : c’est vrai que les réseaux sociaux drainent une clientèle très jeune (16-17 ans pour les plus jeunes), mais nous avons aussi toute une clientèle de quartier, faite de personnes de tous âges et de tous horizons. Nous sommes installées au rez-de-jardin de notre maison et nous avons installé un grand panneau à l’entrée ce qui nous a vraiment permis d’intégrer notre activité à la vie locale. Peu importe l’âge ou l’origine de nos clientes : on accorde notre attention à chacune, on échange beaucoup, des affinités se créent et on développe de véritables relations humaines. C’est une dimension très importante de notre travail.
Sur votre site Internet vous parlez d’ailleurs de beauté inclusive. Qu’est-ce que ça signifie pour vous ?
Ça signifie simplement que nous cherchons à mettre en valeur la beauté de chaque femme. L’idée, ce n’est pas de lutter contre la nature pour la faire entrer dans un moule qui répondrait aux critères actuels de la beauté, bien au contraire… Chaque femme, chaque couleur de peau, chaque regard peut être sublimé quel que soit l’âge ou les caractéristiques ethniques de la personne. On ne travaille pas le regard de la même façon sur une européenne et une asiatique, mais on peut embellir les deux… Si une personne arrive avec une photo comme modèle, mais que son physique ne correspond pas du tout, on prend le temps de le lui expliquer et de l’orienter vers quelque chose qui lui convienne. D’ailleurs, il en va de même pour la lumière pulsée : l’essentiel de notre clientèle est de phototype 2 et 3 mais nous avons aussi deux clientes de phototype 4. Sur les phototypes 2 et 3, les résultats sont visibles dès la 2ème ou 3ème séance, mais avec un phototype 4 les résultats sont plus longs à venir. Alors nous prenons vraiment le temps d’expliquer, de rassurer. La confiance c’est vraiment la clé : par exemple, je n’hésite pas à prévenir que les soins peuvent être douloureux sur certaines zones - en particulier pour le maillot… A vrai dire, une fois qu’elles ont constaté les résultats sur une zone, la plupart des clientes sont prêtes à passer outre !
Est-ce que vous proposez aussi les soins de réjuvénation par lumière pulsée ?
Oui absolument, même si c’est dans une moindre mesure que la lumière pulsée : la proportion est d’environ 5 clientes en photo-rajeunissement pour 20 en dépilation. Avec la lumière pulsée, les imperfections disparaissent petit à petit et le teint est vraiment uniformisé. Les résultats sont aussi très satisfaisants : la peau gagne immédiatement en qualité, elle est plus lumineuse et les pores se resserrent. Pour cette prestation, nous proposons des forfaits de 5 séances : dans la majeure partie des cas, ça suffit pour obtenir des résultats complets.
Vous allez donc poursuivre dans cette direction ?
Tout à fait ! Pour moi (Kaoutar), il est même question de faire le tri dans certaines prestations pour accorder plus de place à la lumière pulsée. On va donc continuer sur notre lancée …
Avec un démarrage pareil, c’est sans nul doute la meilleure chose à faire ! L’équipe Corpoderm vous souhaite la plus belle des réussites, merci de nous avoir accordé cette interview.
*Caroline Marlin, de l'équipe Corpoderm.
