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Étude de cas : épilation dorsale avec Leaseir MHR

Étude de cas

Actualités - Le 14 novembre 2023

Très sportif, Paul a longtemps eu recours à l’épilation traditionnelle pour se débarrasser de sa pilosité dorsale. A la recherche d’une solution efficace et définitive, il s’est tourné vers un centre de soins esthétiques qui pratique l’épilation laser avec la technologie Leaseir MHR :

épilation dorsale au laser diode

Adapter le protocole d’épilation laser au phototype

Si la nouvelle génération d’appareils d’épilation laser diode permet de traiter tous les phototypes de peau, son efficacité reste liée au choix d’un protocole de soin adapté. Le traitement de Paul a donc débuté par un diagnostic de peau : l’appareil Melancolor, qui permet de mesurer avec précision et indépendamment l’indice érythème et l’indice mélanine, a déterminé un phototype de niveau 5.

Une information essentielle grâce à laquelle la puissance et la vitesse de tirs de l’appareil sont adaptés de façon à produire les meilleurs résultats. 

Une première séance rapide aux effets immédiatement visibles

Paul a les épaules très carrées, le dos large, et sa pilosité est étendue, ce qui justifie d’autant plus le choix du laser diode Leaseir MHR. En effet, ce dernier permet de traiter très rapidement les grandes zones corporelles avec le mode « super pulse » qui s’effectue par un large mouvement de balayage, et en un seul passage.
Dans le cas de Paul, la première séance d’épilation n’a duré, en tout et pour tout, qu’une dizaine de minutes car l’appareil a été équipé d’un spot de grande taille : le Quad expert HR, à la fois plus puissant et plus rapide que les spots de taille inférieure. A l’issue de cette première séance, Paul a déjà pu constater que ses poils repoussaient beaucoup moins rapidement, et moins massivement, qu’après une épilation classique.

Espacer les séances en fonction du cycle pilaire

Le cycle pileux inclut différentes phases : en croissance pendant la phase anagène, les poils stagnent en phase catagène et meurent avant de se détacher lors de la phase télogène. Or, l’épilation doit se dérouler en phase anagène, c’est-à-dire pendant que les poils poussent. La durée d’un cycle pileux varie d’une personne à une autre, allant de 4 mois à plusieurs années selon les cas. En outre, plusieurs cycles pileux peuvent coexister sur une même zone corporelle. Pour être parfaite, une épilation définitive doit donc s’organiser en plusieurs séances de façon à pouvoir traiter tous les poils. Un traitement en 7 séances espacées de 60 jours a donc été proposé à Paul : entamé à la fin de l’été dernier, son parcours de soin s’est terminé avant le début de l’été 2023. 

Des résultats satisfaisants dès la première séance

Toutefois, Paul a remarqué dès la première séance que la peau de son dos était déjà beaucoup plus lisse et douce. Un phénomène qui s’est accentué de séance en séance, tandis que sa pilosité se faisait de plus en plus discrète. Paul déclare d’ailleurs que dès la troisième séance, il aurait oublié de se rendre dans son centre de soins si ses rendez-vous ne lui avaient pas été systématiquement rappelés par sms ! Lors de la dernière séance de soins, il restait d’ailleurs très peu de poils à traiter.

Une séance d’entretien annuelle à prévoir

Parfaitement satisfait des résultats obtenus, Paul a d’ores et déjà planifié sa prochaine séance d’entretien annuel. En effet, même lorsque l’intégralité des bulbes pileux présents sur une zone corporelle ont été supprimés, il est possible que s’en forment de nouveau. Ce type de repousse varie très fortement d’une personne à l’autre... mais en regard de sa pilosité très développée, Paul anticipe déjà son besoin !