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Les technologies de soin au service de l’expertise minceur et anti-âge


Témoignages - Propos recueilli en janvier 2021

L’institut de Carole Renard est une 'Bulle de Paradis' installée depuis bientôt 4 années dans la commune de Saint-Arnoult, à proximité de Deauville. Elle propose une large gamme de soins esthétiques pour lesquels elle aime mobiliser les technologies les plus innovantes. Pour Carole, experte en soins de l’épiderme, un soin minceur ou un soin anti-âge s’élabore toujours sur-mesure, en associant les technologies avec précision à chaque étape du soin. 

Espace accueil, institut Bulle de Paradis

Bonjour Carole. Quel parcours vous a menée à l’ouverture de votre propre salon ?

J’ai commencé dès 18 ans à travailler en tant qu’esthéticienne et j’ai développé mes compétences au fil des expériences et des opportunités qui se sont présentées : au départ je travaillais pour une franchise dédiée à l’épilation, je me suis ensuite formée aux techniques de l’onglerie puis à d’autres spécialités comme les extensions de cils et le maquillage permanent. J’ai beaucoup pratiqué le maquillage permanent et c’est à ce moment-là que j’ai commencé à approfondir mes connaissances sur l’épiderme et les soins de la peau. Petit à petit, j’ai développé une expertise dans ce domaine et je me suis spécialisée dans les soins anti-âge et les soins minceur. J’avais donc 30 ans et déjà 12 années d’expérience quand j’ai ouvert mon institut.

Vous travaillez seule ou en équipe ?

En ce moment nous sommes deux à travailler : Pauline travaille avec moi depuis quelques temps, et je suis actuellement en train de chercher une collaboratrice supplémentaire… Avis aux candidatures !

Est-ce que vous recherchez une compétence particulière ?

L’idéal c’est d’être polyvalent, même si bien sûr nous avons toujours nos domaines de prédilection. Pauline a un vrai talent pour les soins beauté comme l’onglerie et le maquillage permanent, et elle fait aussi beaucoup d’épilation. Quant à moi, je suis vraiment spécialisée dans les bilans minceur et anti-âge. C’est un domaine qui me passionne parce que les technologies évoluent en permanence, et quand on sait les utiliser, on peut réellement obtenir des résultats impressionnants ! Mais c’est aussi très exigeant, parce que chaque innovation implique de nouvelles connaissances et donc une nouvelle formation.

Les innovations en matière de soin minceur et anti-âge sont nombreuses : comment faites-vous votre sélection ?

Lorsque je me lance à la recherche d’un nouvel équipement, c’est toujours pour répondre à une problématique précise : par exemple travailler en profondeur pour désengorger les tissus, déstocker, ou agir sur la surface de la peau pour la lisser et la raffermir. La machine parfaite qui fait tout n’existe pas… en tous cas pas encore ! Donc je dispose de plusieurs appareils, et j’utilise telle ou telle technique en fonction des résultats que je souhaite obtenir à un moment précis. Généralement, les cures que je propose sont évolutives et mobilisent plusieurs technologies : j’interviens par étapes, je travaille par zones, et j’adapte mon outil à chaque fois.

Ça représente un investissement important ?

Oui, ce sont des investissements importants. Mais ça peut réellement contribuer au développement de l’activité. Ma dernière acquisition, c’est le Diasculpt, qui exploite la technologie de bio-stimulation pour les soins minceur et anti-âge par infrarouge. Je l’ai acheté juste avant le premier confinement, et depuis je l’utilise tous les jours ! (Oui, tous les jours, puisque mon copain et moi-même en avons profité pendant le confinement !)

Comment présentez-vous ces nouveautés à votre clientèle ? Est-ce qu’elle y est réceptive ?

Comme je communique beaucoup sur Internet et les réseaux sociaux, certaines clientes viennent à l’institut parce qu’elles savent que je vais leur proposer un soin innovant, et parfois pour essayer une technologie de soin en particulier. Quand elles m’appellent, je les invite toujours à visiter mon site Internet pour se faire une idée précise des soins et des tarifs. Ensuite nous prenons rendez-vous, soit pour une séance associant bilan et soin, soit pour réaliser un bilan approfondi et mettre en place un parcours de soin plus conséquent.

Cette phase de diagnostic est donc très importante dans votre démarche ?

Oui, c’est une étape absolument essentielle parce que c’est aussi une phase de rencontre. Un soin esthétique ça n’est pas si superficiel qu’on pourrait le croire ! Les soins minceur en particulier sont des demandes qu’il faut savoir traiter avec délicatesse. Un problème de poids peut avoir de multiples causes : le stress, un déséquilibre hormonal, un choc émotionnel ou tout simplement une mauvaise hygiène de vie. Il faut savoir écouter et aussi expliquer. Quand je propose une cure, je suis toujours très franche : si j’estime que 36 séances seront nécessaires, je le dis. Au même titre que j’insiste sur la nécessité de mettre en place une bonne hygiène de vie. Je ne suis pas spécialiste des régimes, mais je peux donner des conseils simples, des conseils de bon sens, et si besoin, conseiller d’avoir recours à l’aide d’un nutritionniste.

La pédagogie représente donc une part importante de votre travail ?

Absolument. Je pose beaucoup de questions de façon à cerner les habitudes, et je prends le temps d’expliquer les bons gestes et les routines de soin à mettre en place. C’est une chose que je fais aussi sur les réseaux sociaux : j’ai commencé à faire des tutos beauté et des sessions de questions en direct pendant le premier confinement et ça fonctionne vraiment bien.

Vous avez pu maintenir le lien avec votre clientèle pendant le confinement grâce à ces vidéos ?

Oui, mes clientes ont vraiment beaucoup apprécié. C’était vraiment important de maintenir un lien social dans cette période. Aujourd’hui je continue à le faire, soit avec des lives, soit en répondant directement aux commentaires sur les publications. J’aime beaucoup faire ça, et je crois que ça répond à une véritable attente. Le conseil est une facette mal connue du métier d’esthéticienne, mais c’est une facette essentielle ! C’est important de faire la lumière sur cet aspect de notre activité.

Et comment s’est passée la reprise ?

A chaque déconfinement on a énormément travaillé : les gens avaient vraiment besoin de prendre soin d’eux. D’ailleurs, c’est toujours le cas. D’habitude on a toujours un creux après les fêtes, mais cette année c’est différent : la première quinzaine de janvier a été très active.

Vous avez donc confiance pour la suite ? Comment envisagez-vous l’avenir ?

Oui je suis plutôt confiante, même si comme tout le monde je reste assez prudente. Il faut s’adapter à ce qui arrive. Mais j’espère bien pouvoir bientôt repartir vers de nouvelles découvertes !

Et on vous le souhaite ! Merci beaucoup Carole, on invite nos lecteurs à vous retrouver sur les réseaux sociaux, et nous prendrons plaisir à vous y retrouver !