Du métier d’infirmière à l’esthétique : prendre soin autrement
Noémie Verrier exerce son métier d’infirmière depuis plus de 20 ans. Récemment, elle a décidé de diversifier son activité en ouvrant le centre de beauté Dermanessence à Langlade. Pour Noémie, l’accompagnement de Corpoderm s’est avéré déterminant car il lui a permis de choisir les technologies les plus pertinentes en regard de son projet, mais également de se sentir soutenue et d’avancer en confiance. Elle témoigne dans cette interview :
Noémie, pourquoi, en tant qu’infirmière, avez-vous fait le choix de vous orienter vers l’esthétique ?
J’aime beaucoup mon métier d’infirmière, et j’y consacre d’ailleurs encore une partie de mon temps. J’ai simplement eu envie de prendre soin autrement, d’une manière moins médicalisée. J’ai travaillé en soins palliatifs et ce déclic est venu alors que j’accompagnais une personne très jeune en fin de vie. Le métier d’infirmière peut être très éprouvant… Aujourd’hui, j’ai envie de mobiliser mon savoir-faire infirmier, mais aussi de continuer à développer mes connaissances afin de pouvoir prodiguer des soins qui procurent confiance en soi et bien-être.
Quels moyens vous êtes-vous donnés pour mettre en place votre projet ?
J’y ai investi beaucoup de temps et d’énergie : business plan, étude de marché, formation… J’ai travaillé sur tous les aspects et je me suis accrochée. Il y a actuellement beaucoup d’infirmières qui envisagent de se reconvertir dans l’esthétique, et beaucoup d’offres d’accompagnement plus ou moins sérieuses se créent en retour. Il faut donc se méfier des leurres, et bien comprendre qu’une telle reconversion demande avant tout beaucoup de travail. L’une des étapes les plus déterminantes dans ce processus a été ma rencontre avec Brice*, de l’équipe Corpoderm. Il m’a invitée à un séminaire au cours duquel j’ai pu découvrir et tester différentes technologies, ainsi que les dermocosmétiques mesoestetic®, et ça m’a beaucoup aidée à affiner mon projet. Avant cette rencontre, je pensais démarrer avec une seule technologie (que j’ai finalement laissée de côté) et je me suis décidée à investir plus largement de façon à disposer de plusieurs appareils dès l’ouverture.
Avez-vous rencontré des difficultés pour financer ces investissements ?
Pas vraiment : j’ai la chance d’avoir une bonne relation avec ma banquière, et les arguments que je lui ai présentés après ma rencontre avec Brice et Angélique* (de l’équipe mesoestetic®) l’ont convaincue de me suivre. Je précise tout de même que j’exerce en tant qu’infirmière libérale depuis près de 13 ans avec un bilan comptable positif, ce qui offre une garantie solide en termes de capacités de remboursement.
Sur quelles technologies avez-vous porté votre choix, et en quoi ce choix était-il stratégique ?
J’ai choisi de démarrer avec le laser-diode, la cryolipolyse et Genesis®, que j’utilise en synergie avec les produits mesoestetic®. Je n’ai pas beaucoup hésité au sujet de l’épilation laser, qui a clairement le vent en poupe actuellement. Elle fonctionne d’ailleurs comme un produit d’appel qui permet ensuite de faire découvrir les autres technologies. La radiofréquence de dernière génération mobilisée par Genesis® est en effet moins connue. Ceci dit, elle ne devrait pas tarder à le devenir car les résultats qu’elle produit sont tout simplement spectaculaires ! Quant à la cryolipolyse, c’est une technologie minceur déjà largement éprouvée…
