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L.Atypique, le meilleur des technologies en coiffure et soins visage


Témoignages - Propos recueilli en décembre 2021

Mélanie Pimentel est à la tête de L.Atypique, un salon de coiffure et soins visage du 6ème arrondissement de Paris. Et L.Atypique porte bien son nom : il propose un ensemble de soins pour la beauté des cheveux, de la peau et du visage, un concept original fondé sur une conception globale et personnalisée des soins beauté, et mobilisant des technologies d’avant-garde. Dans cette interview, Mélanie Pimentel revient justement sur le rôle primordial des technologies de soin dans l’élaboration du concept L.Atypique :

Mélanie et son mari Iney, salon L;Atypique, Paris.

Mélanie, pour commencer, pouvez-vous nous expliquer plus précisément le concept de L.Atypique ?

L’idée est de proposer un ensemble très complet de soins beauté : beauté du visage et de la peau, maquillage permanent, beauté des ongles et beauté des cheveux associant soins et coiffure. Nous accordons surtout une place très importante au conseil et à la personnalisation des soins : nous accompagnons notre clientèle dans ses choix en tenant compte non-seulement des aspects physiques mais aussi du caractère et du mode de vie propre à chacun.

Vous travaillez seule ou en équipe ?

En équipe bien sûr ! Nous sommes 10 à travailler au salon, et je collabore aussi avec mon mari. Iney n’est pas du tout du métier donc il ne pratique pas de soins, mais il s’occupe notamment de la boutique en ligne et de notre présence Web.

Comment avez-vous décidé d’ouvrir votre propre salon ?

J’avais ce projet depuis très longtemps. Il faut dire que j’ai eu très jeune un problème d’alopécie, ainsi que pas mal de problèmes de poids, de peau… J’ai donc cherché des solutions, j’en ai trouvé et j’ai eu envie de les partager. Ça a très clairement orienté mon parcours professionnel : à l’âge de 18 ans je voulais déjà ouvrir mon propre salon ! C’est ma mère qui m’a freinée au début : elle m’a conseillé d’expérimenter des choses avant de me lancer, de voyager… Et elle avait parfaitement raison : cette période a été très riche, j’ai beaucoup voyagé, notamment aux USA où j’ai posé mes valises pendant 8 ans. C’est d’ailleurs aux États-Unis que j’ai eu l’occasion de découvrir, tester et pratiquer des technologies innovantes comme le micro-needling et les leds.

Vous avez suivi une formation en esthétique ?

Oui, en esthétique et en micro-needling (d’ailleurs, aujourd’hui je suis aussi formatrice). Je suis revenue à Paris pour ouvrir mon salon parce que c’est la ville où je suis née et où j’ai grandi…

Vous avez donc proposé des technologies de soin innovantes dès l’ouverture de votre salon ?

Oui j’ai proposé le micro-needling dès 2016, à l’ouverture du salon. Ça n’a pas été facile parce qu’il y a 5 ans la technique n’était pas du tout connue en France. Le démarrage a été assez long, ça a demandé beaucoup de pédagogie parce qu’en France les gens ont tendance à se montrer méfiants avec les nouveautés. Mais les résultats étaient là, le bouche à oreille s’est mis en place petit à petit et notre clientèle s’est développée. Ce qui est frappant c’est qu’il ne s’agit pas d’une clientèle de quartier, mais plutôt d’une clientèle nationale. J’ai beaucoup de clientes qui viennent de Corse ou du sud-ouest : elles viennent 4 à 5 fois par an pour tout un ensemble de soins. Ceci dit, depuis que nous sommes équipés de leds la clientèle locale est de plus en plus présente. C’est normal car ce type de soins demande un peu plus de suivi.

Vous venez tout juste de vous équiper d’appareils de PhotoBioModulation par leds alors que vous connaissiez cette technologie de soin depuis longtemps, pourquoi avoir autant attendu ?

En effet j’ai découvert les applications esthétiques des lumières led aux États-Unis il y a de nombreuses années. Mais jusqu’à présent, en France, les appareils à leds de qualité étaient réservés au milieu médical. En esthétique, on ne trouvait que des équipements plus ou moins médiocres, et donc pas très efficaces. J’ai donc été ravie de découvrir les appareils distribués par Corpoderm, HairLED et EsthéLED. Je les ai testés sur moi, et les résultats et la qualité sont vraiment là. Les leds sont indéniablement de très haute qualité, les panneaux en contiennent beaucoup et les appareils peuvent tourner toute la journée sans surchauffe, avec toujours la même qualité de diffusion.

A quelle occasion avez-vous découvert EsthéLED et HairLED ?

J’essaie de participer à un maximum d’évènements professionnels : c’est essentiel pour se tenir au courant des évolutions du marché. C’est comme ça que j’ai découvert les appareils de PhotoBioModulation par leds distribués par Corpoderm. Comme vous pouvez l’imaginer, ça m’a immédiatement intéressée, et comme Corpoderm a l’intelligence de proposer des facilités de paiement, je me suis décidée à investir.

Comment votre clientèle a-t-elle accueilli cette nouveauté ?

Le schéma est un peu le même que pour le micro-needling puisque les bienfaits de la lumière Led commencent tout juste à faire parler d’eux en France. Et comme je vous le disais tout à l’heure, les français font preuve de circonspection devant la nouveauté. C’est d’autant plus vrai avec les leds qu’il n’est pas forcément évident d’admettre qu’une simple lumière puisse à ce point stimuler la régénération cellulaire… Et je dois donc passer beaucoup de temps à expliquer que justement, il ne s’agit pas d’une simple lumière, qu’il y a beaucoup de recherches scientifiques derrière tout ça et que l’action de ces appareils est très ciblée et très efficace…

Et c’est suffisant pour convaincre ?

Non la théorie ne suffit pas, le mieux c’est toujours de constater les résultats ! Donc je fais 2 choses : la première, c’est de communiquer sur les réseaux sociaux à travers mes problématiques personnelles. Je teste sur moi-même, je montre les résultats, et c’est très impactant parce que les gens me connaissent. Et au salon, je peux faire découvrir EsthéLED après un diagnostic approfondi de la peau, ou bien faire tester HairLED à l’occasion d’un soin du cuir chevelu.
La PBM fonctionne très bien en synergie, et elle permet d’obtenir des effets très rapides sur les rougeurs et les démangeaisons du cuir chevelu. Cette phase de découverte est très importante, surtout avec HairLED car l’arrivée de la PBM dans le domaine des soins du cheveu est particulièrement récente.

Justement, après quelques semaines d’utilisation, quelle place occupe HairLED dans votre espace coiffure ?

Sa place ? Il est à côté du casque vapeur et du casque chauffant ! Sérieusement, HairLED convient à la plupart de mes clients, tout simplement parce qu’il est vraiment très rare de voir une personne qui n’ait aucun problème de cuir chevelu : rougeurs, démangeaisons, excès de sébum, cheveux cassants… Par ailleurs, une cure de PhotoBioModulation permet aussi de limiter la chute des cheveux, de stimuler la repousse ou d’accélérer l’installation d’implants capillaires. Les applications d’HairLED sont donc nombreuses, et c’est une technologie qui n’a pas encore révélé tout son potentiel. J’ai par exemple l’intuition que ça pourrait aussi contribuer à activer la mélanine, et donc à retarder l’apparition des cheveux blancs… En tous cas, je crois vraiment que d’ici 10 ou 15 ans, la plupart des salons de coiffure vont l’utiliser.

Et du côté des soins esthétiques, quel accueil votre clientèle réserve-t-elle à EsthéLED ?

C’est un peu différent parce que les soins esthétiques par led sont déjà mieux connus… mais je prends quand même le temps d’insister sur l’importance de la qualité des équipements. Les applications esthétiques de la PBM sont nombreuses, et elle peut être proposée seule ou en synergie avec d’autres techniques de soin, selon les besoins propres à chaque cas. Je la propose donc souvent, à un prix que j’ai voulu accessible et tout ça fait qu’elle est très bien accueillie !

Vous êtes donc confortée dans votre pari sur l’innovation ?

Absolument ! beaucoup de choses sont possibles en matière d’embellissement… le tout c’est de faire le bon choix de façon à être à la fois efficace et rentable. Il faut faire confiance au processus…

C’est une jolie conclusion… merci Mélanie pour votre témoignage et bonne continuation !