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Des technologies de pointe pour une approche globale, le concept Palmer


Témoignages - Propos recueilli en octobre 2021

Situé à Saint Martin de Crau (13), le Centre Palmer associe 3 espaces : un pôle remise en forme high-tech, un pôle cryothérapie corps entier et un pôle beauté. Ce concept original qui fait la part belle aux technologies de soin a été créé il y a 4 ans à l’initiative de Frédéric Palmer, masseur-kinésithérapeute et ostéopathe. Alors que la première franchise Centre-Palmer s’apprête à ouvrir ses portes, Frédéric Palmer revient sur son parcours :

Centre Palmer, Saint-Martin du Crau (13)

Frédéric, comment vous est venue l’idée de créer le Centre Palmer ?

J’exerce depuis quinze ans en tant que masseur-kinésithérapeute et ostéopathe, et c’est dans ce contexte que j’ai commencé à explorer et exploiter les technologies de soin. Il y a 10 ans, j’ai découvert CryoCell, l’appareil de cryolipolyse Corpoderm, et ça a été le déclic : j’ai tout de suite saisi le potentiel offert par cette technologie. Il faut dire aussi que les demandes considérées comme « esthétiques » devenaient de plus en plus nombreuses, et j’ai voulu me donner les moyens d’y répondre. C’est comme ça que le concept du Centre Palmer a vu le jour.

Comment expliquez-vous cet engouement pour les technologies esthétiques ?

A mon sens, il s’explique plus par la recherche d’un bien-être global que par de simples considérations esthétiques. D’ailleurs, ces technologies trouvent aussi bien leur place dans l’espace Beauté que dans l’espace remise en forme ou sur le pôle cryothérapie corps entier, ce qui montre que leurs applications dépassent le simple champ de l’esthétique. La correction d’un défaut physique permet de se sentir mieux, mais aussi d’évoluer avec plus d’aisance et plus de confiance dans son environnement. C’est un besoin qui se fait de plus en plus ressentir aujourd’hui.

Quelles sont les autres technologies de soin que vous utilisez ?

J’en utilise un certain nombre, et je suis toujours à l’affût des tendances et des innovations. Beaucoup des technologies proposées au Centre Palmer viennent de chez Corpoderm : Cryocell, mais aussi Unique pour la radiofréquence, l’IPL Stella pour la dépilation, et depuis quelques semaines, l’appareil de PhotoBioModulation par LED EsthéLED.

Comment sélectionnez-vous les technologies proposées dans votre centre ?

Je commence toujours par les essayer. Et je ne prends pas seulement en considération leur efficacité : j’attache beaucoup d’importance au caractère plaisant des soins. Pour que les clients adhèrent, il faut que les soins soient agréables. D’ailleurs, il faut aussi que les soins soient agréables à pratiquer : c’est un tout, si le praticien aime pratiquer un soin, le soin est forcément plus agréable à recevoir ! A mon sens, c’est vraiment la clé du succès pour une technologie.

Sur ce point, l’exemple d’EsthéLED est assez frappant : je ne l’utilise que depuis 3 semaines, mais au rythme d’une dizaine de soins par jour. C’est ce qu’on appelle un décollage immédiat ! J’ai déjà utilisé des appareils à LED auparavant, mais ils étaient beaucoup moins performants. Avec un appareil comme EsthéLED, je n’ai aucun doute sur le succès de la PhotoBioModulation et je m’apprête d’ailleurs à recevoir BodyLED pour l’exploiter sur le corps entier.

C’est intéressant : pourquoi souhaitez-vous acquérir ces deux appareils de PhotoBioModulation par LED ?

Je vais tout simplement les utiliser de manière différente. J’utiliserai EsthéLED pour traiter une zone ciblée, à priori plutôt pour les soins Beauté. Quant à BodyLED, qui est dédié à l’exposition du corps entier, je pense qu’il sera plutôt orienté vers les soins bien-être, santé et thérapeutiques. En tous cas, je le proposerai comme une option de soin supplémentaire.

Justement, comment orientez-vous votre clientèle vers les différents pôles de votre centre, et parmi les différentes techniques de soins ?

La plupart des gens arrivent avec une idée précise – même s’il arrive aussi que certains poussent la porte par simple curiosité. Ils viennent pour l’épilation, pour la cryolipolyse ou pour avoir une activité sportive, et soit nous validons leur choix, soit nous les conseillons pour les orienter vers ce qui nous parait le plus pertinent.

Les trois pôles du centre fonctionnent en simultané, et peuvent aussi être utilisés en corrélation. Notre clientèle peut soit opter pour des soins ponctuels, soit pour un forfait sur une technique de soin particulière, ou encore choisir une formule d’abonnement. L’abonnement est une formule qui plait beaucoup parce qu’elle permet de tester différentes technologies. C’est d’ailleurs tout l’intérêt du concept : notre approche est globale et nous mettons à disposition tout un panel de soins en un seul et même lieu.

Combien de personnes travaillent dans votre centre ?

Je travaille avec une équipe de trois personnes. Personnellement je consacre beaucoup de temps à la gestion et au développement, et mon rôle en salle est essentiellement celui de référent : je veille au respect des consignes, des bonnes pratiques et aux contre-indications éventuelles. Les clients sont pris en charge par Christelle, qui travaille avec moi depuis l’ouverture et qui est donc en mesure de gérer la structure en autonomie, ainsi que par Bénédicte, qui est esthéticienne, et Vivien, coach sportif et dernier arrivé dans l’équipe.

Vous avez donc composé une équipe mixte ?

Oui c’est très important. Notre clientèle est mixte également puisqu’elle est composée de 40% d’hommes et 60% de femmes. Ça permet de maintenir un certain équilibre et de pouvoir répondre aux attentes de la clientèle qui peut parfois préférer être suivie par un homme ou par une femme.

Après 4 années d’exploitation, quelles évolutions envisagez-vous pour la suite ?

Côté machine, je pense bientôt m’équiper du Narl 517. C’est aussi un équipement Corpoderm, et il m’intéresse parce qu’il permet de traiter les graisses profondes et viscérales. En termes de développement, le concept du Centre Palmer s’ouvre maintenant aux franchisés : la première ouverture est prévue en Novembre à Istres.

Bravo ! C’est une étape majeure : comment vous est venue cette idée ?

C’est tout simplement une réponse à une demande qui se faisait de plus en plus pressante. Le concept plait, et on m’a souvent dit « J’aimerais bien faire la même chose que toi ». J’y ai donc réfléchi, et je me suis lancé… Je ne vous cache pas que ça représente beaucoup de travail : 6 mois à temps plein, pour être précis. Mais aujourd’hui le concept est lancé, et d’autres ouvertures sont à l’étude…

On ne peut donc que vous souhaiter le meilleur pour la suite, et on ne manquera pas de suivre cette évolution sur les réseaux sociaux. Merci de nous avoir accordé un peu de votre temps pour partager cette expérience enrichissante.