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Stimulation capillaire par LED : le témoignage d’Anne-Sophie Dehame


Témoignages - Propos recueilli en janvier 2023

Confrontée à un sérieux problème d’alopécie, Anne-Sophie s’est tournée vers la photobiomodulation (PBM) pour tenter d’y remédier. Une expérience qui lui a été proposée par Caroline Fontaine, gérante de l’institut Chrysalide, et dont les résultats ont largement dépassé ses espérances. Elle témoigne :

Photo d'Anne Sophie Dehame

Bonjour Anne-Sophie. En France, l’arrivée de la PBM dans le domaine du soin capillaire est assez récente. Comment en avez-vous entendu parler ?
Je suis juriste de formation et c’est dans ce contexte que j’ai rencontré Caroline Fontaine : je l’ai accompagnée dans la création de son activité. C’était il y a environ 6 ans, et à la même époque j’ai eu un cancer du sein. Avec la chimiothérapie, j’ai perdu mes cheveux, il a fallu très longtemps pour qu’ils repoussent et ils étaient complètement blancs. Pareil pour mes sourcils qui avaient repoussé couleur blanc/gris, avec très peu de densité, et que j’avais dû faire redessiner avec du maquillage permanent. Malheureusement, j’ai fait une rechute assez récemment : j’ai été soignée et je suis guérie, mais lorsque j’ai terminé la chimiothérapie en août dernier, j’avais de nouveaux perdu tous mes cheveux…

C’est à ce moment-là que vous vous êtes tournée vers Caroline ?
Caroline et moi étions toujours en contact, et c’est Caroline qui m’a proposé de tenter la stimulation capillaire par LED. J’en ai d’abord parlé avec mon oncologue : selon lui il n’y avait pas de contre-indication, en revanche il n’y croyait pas vraiment… Mais j’étais en plein processus de guérison et j’avais vraiment besoin de me retrouver, d’être à nouveau en phase avec mon apparence… Je me suis dit que ça valait le coup d’essayer.

Quand avez-vous démarré les soins ?
Nous avons commencé en novembre. Mon traitement était totalement terminé et mes cheveux avaient déjà légèrement commencé à repousser. Caroline m’a proposé de travailler sur 10 séances à raison de deux séances par semaine, une le mercredi et une le vendredi. Il y a eu une petite interruption d’une semaine à Noël et nous avons terminé le 30 décembre, mais les premiers résultats sont arrivés très vite !

Vous avez constaté des résultats rapides ?
Oui, à vrai dire c’était assez étonnant. Caroline a pris une photo avant la première séance (nous étions donc un mercredi) et je suis revenue deux jours après pour la seconde. Ce jour-là, à la fin des soins, je me penche en avant pour refaire mon lacet et j’entends Caroline me dire : « Mais, je rêve ! c’est pas possible… ». Comme je ne pouvais pas voir le haut de mon crâne, elle a pris une photo pour que je confirme son impression. On a comparé avec la photo précédente, et il y avait de toute évidence une vraie différence : les cheveux étaient plus fournis et ils étaient bruns ! Comme on n’osait à peine croire ce qu’on voyait, on a fait le tour des clientes de l’institut pour leur demander leur avis et elles ont toutes fait le même constat !

Ci-dessous, la première photo a été prise avant la première séance, les autres à l'issue des 10 séances de LED :

Photo avant-après traitement de l'alopécie par photobiomodulation LED

Avant / Après photobiomodulation - 10 séances


Ça a dû vous motiver pour la suite ?
Oui, et en effet ça a super bien fonctionné. Il va encore me falloir un peu de temps pour retrouver de la longueur, mais j’ai déjà des cheveux bien fournis, bruns et une jolie coupe garçonne ! Et ce n’est pas tout : mes sourcils et mes cils – qui étaient tombés également - ont aussi repoussé. J’ai même du m’épiler les sourcils… ce que je ne faisais pas avant ! (rires)

Les soins que vous a fait Caroline avec EsthéLED étaient seulement dédiés à la stimulation capillaire ou vous avez également fait des soins visage ?
Au début, seulement les soins capillaires : le processus de régénération cellulaire a dû être stimulé de manière globale. Mais c’est vrai que lors des séances de LED, je faisais en sorte d’exposer un maximum de surface. D’ailleurs, j’avais pris l’habitude de poser mes mains sur ma poitrine, et mes ongles aussi se sont mis à pousser.

Vous aviez aussi un problème avec vos ongles ?
Oui, les produits utilisés pour la chimiothérapie sont photo-sensibilisants. Il faut en permanence avoir plusieurs couches de vernis de silicium sur les ongles pour les protéger, mais il se fragilisent quand même. Ils étaient devenus jaunes, mous et cassants. Je n’y prêtais pas particulièrement attention, et j’ai réalisé subitement que je recommençais à me couper les ongles, et que ça arrivait même fréquemment… Je suis vraiment ravie des résultats obtenus, et j’ai envie de partager ça avec les femmes qui se trouvent dans la situation où j’étais. Je pense qu’elles devraient pouvoir en bénéficier elles aussi !

Oui, et c’est pourquoi nous vous remercions chaleureusement pour votre témoignage… Une dernière question : qu’en a pensé votre médecin ?
Je ne l’ai pas encore revu mais notre prochain rendez-vous est pour bientôt et j’ai hâte de lui en parler !

Encore merci Anne-Sophie pour votre témoignage, et très bonne continuation à vous.